Plume ou pinceau
Enfin, tout arrive à qui sait attendre.
Depuis un an qu'il est élu, Jean Nagy se fend d'un article dans le journal.
Diable, il a du peauffiner son propos, il va nous livrer une analyse fine de la situation de la commune, peut-être même nous ouvrir des perspectives, appeler au rassemblement, à la lutte ou quelque chose de ce genre. Après tout, il était la tête de la liste de gauche, premier des socialistes, il a sûrement des choses à nous dire. Et les sujets ne manquent pas, ce blog en témoigne.
Cruelle déception.
Juste une justification à ce que sa peinture orne le carton d'invitation des talents d'Avrillé. Des journalistes semblent ironiser sur son éventuel
" ralliement " à la majorité actuelle.
Si à la lecture d'un de nos articles il pense que nous critiquons ses talents, qu'il se détrompe. Il peut peindre ce qu'il veut, où il veut, comme il veut, peu nous en chaut. Mais avoir été tête de liste d'une liste de gauche, être élu, lui donne un devoir de parole, et les possibilités de s'en servir.
Qu'en fait-il ? Préfère-t-il le pinceau à la plume ?
Pour lui, la démocratie se limiterait-elle au seul moment du vote ?
Allons, Nagy, la démocratie, c’est un ensemble complexe dont le vote, la séparation des pouvoirs, les institutions, etc. C’est aussi la parole, l’échange, la critique.
En la matière, c’est aussi savoir tenir sa parole sur le fond et sur la forme. Ici, le fond et la forme font défaut.
Depuis un an qu'il est élu, Jean Nagy se fend d'un article dans le journal.
Diable, il a du peauffiner son propos, il va nous livrer une analyse fine de la situation de la commune, peut-être même nous ouvrir des perspectives, appeler au rassemblement, à la lutte ou quelque chose de ce genre. Après tout, il était la tête de la liste de gauche, premier des socialistes, il a sûrement des choses à nous dire. Et les sujets ne manquent pas, ce blog en témoigne.
Cruelle déception.
Juste une justification à ce que sa peinture orne le carton d'invitation des talents d'Avrillé. Des journalistes semblent ironiser sur son éventuel
" ralliement " à la majorité actuelle.
Si à la lecture d'un de nos articles il pense que nous critiquons ses talents, qu'il se détrompe. Il peut peindre ce qu'il veut, où il veut, comme il veut, peu nous en chaut. Mais avoir été tête de liste d'une liste de gauche, être élu, lui donne un devoir de parole, et les possibilités de s'en servir.
Qu'en fait-il ? Préfère-t-il le pinceau à la plume ?
Pour lui, la démocratie se limiterait-elle au seul moment du vote ?
Allons, Nagy, la démocratie, c’est un ensemble complexe dont le vote, la séparation des pouvoirs, les institutions, etc. C’est aussi la parole, l’échange, la critique.
En la matière, c’est aussi savoir tenir sa parole sur le fond et sur la forme. Ici, le fond et la forme font défaut.